Sud Web 2017 Aix-en-Provence

  • #Communication/marketing/performances commerciales
  • #Conformité (Accessibilité, RGPD…)
  • #Performance commerciale
  • #Web & UX Design

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Sud Web est la conférence itinérante des travailleurs du web. L’événement est organisé chaque année dans une nouvelle ville du sud de la France et pour cette 7ème édition c’est Aix-en-Provence qui a été choisie. Nos cleveragiens vous racontent.

Du Web et des histoires

Adeline Fradet

Adeline débute la première conférence de la journée, en nous rappelant qu’il existe de nombreuses formations prestigieuses en France dans le domaine de l’écriture et de l’illustration. On sensibilise les enfants dès le plus jeune âge à ces domaines. Il y a de nombreux talents mais ces derniers ont un mal fou à éditer et à publier ce qu’ils ont créé.

Elle soulève alors un point intéressant :

Sommes-nous condamnés à lire toujours la même chose à nos enfants ?

Il est effectivement compliqué de lire chaque soir un nouveau livre.

Pour diversifier la lecture il est possible de se rendre dans une bibliothèque, mais une question d’apparence anodine se pose :

Qui choisit le livre ?

Le livre que va choisir le parent n’est sûrement pas le livre vers lequel l’enfant serait allé.

Le numérique a apporté une partie de la solution en permettant à des auteurs de faire de l’auto édition. Adeline y voit pourtant deux biais :

  • Au lieu de mettre toutes leurs énergies dans leurs oeuvres, ils vont devoir apprendre d’autres compétences liées à l’auto-édition et c’est une charge de travail supplémentaire non négligeable ;
  • il n’y a pas le filtre du professionnel de l’édition, on peut donc avoir du bon comme du mauvais.

Comparativement aux livres, le numérique permet d’aller plus loin dans l’immersion dans l’histoire. On peut jouer sur les animations, l’audio, les interactions, la narration, la personnalisation etc. A la fin du livre numérique, il est également possible de donner son avis. Cet avis est très utile pour aider les futurs lecteurs à se faire une idée mais il est également utile pour les auteurs qui bénéficient d’un retour d’expérience.

Adeline conclut que l’apprentissage aux supports numériques doit continuer et doit être fait dans les deux sens, aussi bien par les enfants que par les parents, elle rajoute que le numérique peut réinventer les relations humaines (pour les créas ainsi que pour les lecteurs).

Son site : Whisperies.com

A journey in India

Marie Terrier

Après 5 années passées entre l’Inde et la France, Marie nous fait un retour d’expérience de son aventure d’expatriée et de sa collaboration avec les développeurs indiens. Son objectif : en finir avec les clichés sur les développeurs indiens.

Tout comme un développeur français nul, un développeur indien nul est avant tout un développeur nul. Sa nationalité, sa religion, son genre, etc. n’a rien à voir avec ses compétences.

Marie nous fait alors un point sur les différences de communication entre nos deux cultures. Elle a remarquée que les développeurs avec qui elle travaille n’osent pas répondre lorsqu’ils ne savent pas quelque chose. Ils préféreront dire “ok ok” plutôt que dire qu’ils n’ont pas compris. Pour éviter cela et s’assurer d’être sur la même longueur d’onde, il ne faut pas hésiter à refaire formuler la question à son interlocuteur. En complément, des schémas peuvent également parfois aider.

L’accent peut également être un problème (c’est d’ailleurs le cas dans les deux sens, c’est pour ça qu’elle dit qu’au final, “on est tous l’indien de quelqu’un d’autre”). Pour éviter des quiproquos, le plus simple et de demander à son interlocuteur de répéter si on ne comprend pas et ne pas hésiter à lui faire reformuler la question pour s’assurer qu’elle soit comprise.

L’orthographe et la grammaire sont également importantes pour la bonne compréhension. Marie nous signale qu’en Inde il y a parfois beaucoup de fautes parce que la langue est très fortement basée sur la phonétique.

Un dernier point est la notion de qualité. La qualité n’est pas la même pour tous. Il faut donc se mettre d’accord sur le niveau de qualité attendu afin de faire gagner du temps à tout le monde.

Au final un développeur indien n’est pas si différent d’un développeur d’une autre nationalité. Il faut entretenir des bonnes relations, instaurer une confiance, être diplomate et relativiser les problèmes.

« Do you speak cliché? », une journée en Inde avec Marie Terrier pour rompre les préjugés sur les dev indiens #sudweb@CleverAge

— Naïs Alcaraz (@almonais) 19 mai 2017

How being a developer makes me a better designer

Rafael Conde

Rafael commence sa conférence par un rappel du contexte : on trouve des logiciels partout, que ça soit dans un micro-onde, une voiture et même dans certains matelas !

Il s’est donc très tôt intéressé à ce domaine qui est omniprésent. Il a débuté sa carrière comme designer mais vu qu’il n’avait pas beaucoup de compétences en développement, il n’osait pas assumer ces choix de designer.

Il a donc commencé à apprendre le développement et faire des projets perso dont breakthissafe.com. C’est une application qui permet d’ouvrir un coffre-fort en utilisant la Digital Crown de l’Apple Watch.

Son apprentissage du développement lui a permis de faire de meilleurs designs, mieux pensés et plus optimisés. Avec le framework React il découvre le principe de composant. C’est au final le même besoin qu’il a en tant que designer. Il ne faut pas réinventer la roue et chercher par exemple à redesigner un élément de formulaire d’un mois sur l’autre.

Rafael est convaincu que savoir comment fonctionne quelque chose permet de mieux le designer. Il nous rappelle cette expérience où on a demandé à des designers de dessiner un vélo. C’est assez simple comme demande, il y a eu plusieurs réponses dont certaines très exotiques avec le pédalier au niveau des roues par exemple. C’est parce que en tant qu’utilisateur on se soucie rarement de savoir comment le vélo fonctionne, on veut juste qu’il roule. Pour le designer par contre on a besoin de savoir comment il fonctionne.

Ouvrir des données publiques, c’est politique

Joël Gombin

Joël nous explique qu’il existe principalement deux plateformes qui recensent les données publiques :
data.gouv.fr : officiel mais pas forçément le plus simple d’utilisation
opendatasoft.fr : bien plus orienté utilisateur, et avec beaucoup d’API
Si un jeu de données n’est pas accessible sur ces plateformes, comment faire ? Joël nous informe que : “n’importe quel citoyen a le droit de demander à n’importe quelle administration de lui fournir un jeu de données.” L’administration a l’obligation ensuite de mettre en ligne cette ressource et de la maintenir à jour.

En tant que citoyen, si on fait donc une demande d’ouverture d’un jeu de données, c’est donc tout le monde qui pourra en bénéficier puisque cette dernière se retrouvera à minima sur la plateforme data.gouv.fr.

Toutefois, pour faire cette demande, la démarche est assez artisanale. Il faut généralement envoyer un email à l’administration concernée et attendre.

Heureusement, Joël rappelle que dans la loi Lemaire, il est écrit que les jeux de données publiques nouvellement créées doivent être ouverts par défaut, à quelques exceptions près comme les secrets défense et la vie privée.

Pour finir, Joël nous parle du projet Open Data Institute de notre père à tous, Tim Berners-Lee et notamment du schéma “5 stars” :

  • niveau 1 : mettre la ressource sur le Web
  • niveau 2 : faire que cette ressource soit structurée correctement
  • niveau 3 : rendre cette ressource dans un format non propriétaire
  • niveau 4 : utiliser les URIs
  • niveau 5 : faire des liens de vos données vers d’autres données ouvertes

« Ouvrir des données publiques, c’est politique  » d’un open data de l’offre à un open data de la demande par Joël Gombin #sudweb

— Naïs Alcaraz (@almonais) 19 mai 2017

Drupal, qu’on lui coupe la tête !

Sylvain Achard et Étienne Vaillot

Retour d’expérience de Sylvain et Étienne sur une refonte d’un site vieillissant Drupal 7 vers Drupal 8. L’idée était de garder Drupal uniquement pour la partie CMS et de découper toutes les autres fonctions. Par exemple le front est uniquement géré en Node.js.

La refonte, et notamment la migration de certain plugin Drupal 7 en Drupal 8 a pris plus de temps que prévu mais au final le site a désormais de meilleures performances. Le changement d’hébergement (passage sur Heroku au lieu de l’auto-hébergement) a également été un gros plus.

Héberger ses données en 2017

Nicolas Ferrari et Cyril Baÿ

Nicolas nous a d’abord fait un rappel du contexte légal :

  • 1789 : Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen
  • 1978 : Loi informatique et libertés
  • 1995 : Directive sur la protection des données
  • 2000 : Directive sur le commerce électronique
  • 2004 : Loi pour la confiance dans l’économie numérique
  • 2016 : Règlement général sur la protection des données

La question posée : “Concrètement qui peut accéder à nos données qui sont chez un hébergeur ?”. Sans être paranoïaque, la réponse est inquiétante car théoriquement il y a pas mal de monde :

  • Les employés de votre hébergeur
  • Le gouvernement pour des raisons judiciaires (cas Snowden)
  • Les agences de sécurité. Cela se produit généralement via des sondes qui sont posées directement sur les câbles.
  • Les vulnérabilités logiciels

Nicolas et Cyril abordent alors les différentes manières de se protéger ou du moins de limiter le risque :

  • Un mot de passe robuste et unique par site ;
  • être vigilant face aux tentatives de phishing ;
  • privilégier la navigation sur un site en HTTPS versus HTTP ;
  • crypter le contenu des emails avec GPG par exemple (l’inconvénient majeur est que la personne en face devra utiliser le même protocole pour pouvoir décrypter le message).

On se doutait de la conclusion mais au final si une information est réellement sensible ou confidentielle, mieux vaut ne pas la mettre en ligne.

L’UX Testing sans les galères

Lucas Cerdan

La conférence démarre par un petit test : Qui connait le tap-ahead pattern ? Peu de monde dans l’audience apparemment et cela confirme que 80 % des professionnels du Web ignorent les patterns. C’est pourtant un pattern qu’on voit très régulièrement que ça soit sur Amazon ou sur Google.

Il rentre ensuite dans le vif du sujet en rappelant qu’il ne faut pas faire confiance à ce que les gens disent parce que c’est souvent éloigné de leurs usages. La seule façon de recueillir un avis réaliste et de les faire tester et d’observer.

Pour cela il est possible de se monter un kit complet pour $200 (https://stories.algolia.com/how-to-build-your-own-diy-user-testing-setup-for-just-129-9ead745a6a74), avec un simple téléphone et les applications suivantes :

  • screenflow
  • reflector

Lucas rappelle également l’importance de bien écrire les tests. On peut influencer le testeur selon la manière dont le test est rédigé. Il y a donc une checklist à respecter lors de l’écriture d’un test afin d’être le plus objectif possible.

Une fois que le test est réalisé, Lucas l’upload sur Youtube pour l’analyser puis communique en interne via un Google Sites. Il précise qu’il est important de toujours mentionner les choses positives et négatives. Eviter les opinions, évoquer uniquement les faits.

Il termine sur le fait que le ROI direct est toujours compliqué à calculer mais néanmoins il ressort que :

  • Toutes les sessions sont enrichissantes ;
  • il est motivant de découvrir ces moments « wow » ;
  • c’est utile pour déterminer comment parler de votre produit ;
  • bonus facultatif : certains participants sont devenus des clients.

Creativopolis

Lucie Baratte

En premier lieu, Lucie nous rappelle la définition du design thinking : une pensée centrée utilisateur. Elle souligne qu’il est important de réfléchir à l’usage et à l’utilisateur, l’humain étant au coeur du sujet.

Elle nous fait ensuite un retour d’expérience sur la refonte de l’identité visuelle d’une mairie via le logo. Son motto pour démarrer une relation professionnelle : confiance et bienveillance.

Atelier 1 :

  • Ice breaking : des jeux pour détendre l’atmosphère et apprendre à se connaître
  • Brainstorming avec des post-it, une idée par post-it. Quels sont les valeurs que l’on veut véhiculer ? Les qualités ? le positionnement ? Puis elle trie les post-it par thématique

Atelier 2 (Dégager une ou plusieurs problématiques) :

  • Portrait chinois : si « lenomduclient » était une couleur ? un plat ? un film ? etc.
  • Portrait robot

Atelier 3 : ange et démon pour étudier avec les équipes le résultat.

Lucie rappelle enfin quelques principes simples mais pourtant indispensables :

  • Guider ce n’est pas forcer ;
  • conseiller ce n’est pas convaincre ;
  • être ouvert ce n’est pas être malléable.

Vers un design de la vie privée

Geoffrey Dorne
Geoffrey milite pour un design plus centré sur l’humain. Il fait d’ailleurs un point intéressant sur le vocabulaire utilisé pour décrire les utilisateurs d’un site Web. Est-ce qu’on parle d’acheteur ? de client ? de lecteur ? de cible ?

Il poursuit ensuite par une citation de Bansky : “In the future, everyone will be anonymous for 15 minutes”. La protection de nos données personnelles et un enjeu à prendre au sérieux. Ces informations dispersées peuvent ne pas sembler importante mais rassemblées elles peuvent devenir critiques.

Geoffrey propose les principes suivants :

  1. Ne pas mentir à l’utilisateur ou lui faire croire quelque chose qu’il ne pourra pas faire ;
  2. ne pas utiliser les dark pattern : par exemple une case cochée par défaut lors d’un ajout au panier ;
  3. utiliser l’identification avec raison : est-ce que la création de compte est nécessaire à chaque fois ? Attention également à Facebook connect qui récupère pas mal d’informations.

Il termine en précisant qu’un modèle économique peut être basé sur les données, il n’y a rien de mal à ça. Il faut par contre refuser les modèles économiques basés sur le vol de données.

Indigestion d’étoiles

Sabine Safi

Sabine, co-fondatrice de 1001Pharmacies, nous livre une expérience sincère et touchante de la création d’une startup à succès. Elle a monté ce projet à la sortie de l’école en 2011 avec un partenaire. L’équipe grossit tout doucement mais les deux dirigeants n’ont pas une fibre particulière pour le management. Du coup ils ajoutent des échelons et rassemblent les gens par pôle mais tout cela génère de la frustration. Les employés se plaignent d’être sous les ordres des managers et de n’être que des exécutants et il y a désormais une concurrence non saine entre les différents pôles.

En 2015, Sabine découvre le livre “Reinventing organizations” et notamment le self management. Il s’agit de laisser les personnes prendre leurs propres décisions. Dans le schéma classique on traite les salariés comme des enfants, on punit, on surveille, on indique les heures de présence etc alors que si on les traite comme des adultes ils se comportent comme des adultes. Sabine, après avoir convaincu son partenaire du bien fondé de la chose, décide donc de faire passer 1001pharmacies en self management.

En 2016, les deux dirigeants ne sont plus d’accord sur la vision qu’ils veulent pour leurs entreprises. Ils font un peu machine arrière en réintégrant quelques managers. Finalement Sabine quitte son entreprise mi 2016 face à sa vision de l’entreprise qui diverge de plus en plus de celle de son partenaire.

Sabine tire comme conclusion que le ratio est très mauvais entre l’investissement humain nécessaire à la création d’une startup et la vraie utilité / impacte sur la société de cette dernière. Souvent le premier intérêt d’une startup est de monter très rapidement, de faire des levées de fond, une grosse croissance puis au bout de 5 ans vendre ou monter en bourse.

Lorsqu’on demande si l’argent rend heureux, les gens savent que non. Il en faut bien sûr un minimum et on saura toujours quoi faire si on en avait plus. Mais ce n’est pas la source de notre bonheur.

Sabine pose alors la question suivante : “Et si ce n’était pas l’argent, le but du jeu professionnel ? Ca serait quoi ? Collectivement peut on se mettre d’accord que ce n’est pas la taille du compte en banque qui est important ?”

Les valeurs humaines + importante que 💰💰. Totalement d’accord avec @SabineSafi à #SudWeb

— Mohamed-Amine Mih (@maminemih) 19 mai 2017

Nos points de vue

Olivier

Ce que je retiens de Sud Web 2017 :

  • La conférence de Sabine Safi : une vraie conférence coup de coeur. C’est pour moi la raison d’être de Sud Web : assister à une conférence qui, une fois rentré à la maison, permet de poursuivre la réflexion et d’ouvrir des dizaines de possibilités.
  • Avoir rencontré Monsieur Bert Bos, papa du CSS, si humble et à l’écoute.
  • Des ateliers souvent trop courts mais ô combien enrichissants : je pense notamment à celui d’Hélène Schapira qui est passionnée et passionnante sur le sujet RH et à Goulven Champenois très convaincant sur le sujet du Zero Waste.
  • Découvrir une nouvelle ville, Aix-en-Provence, et plein de lieux sympas.
  • Avoir le sentiment d’être porté durant ces deux jours et le plaisir de faire de nouvelles rencontres.

Naïs

Ce que je retiens de Sud Web 2017 :

  • Une découverte de cette conférence que je ne connaissais pas, qui est plus humaine que technique et c’est quelque chose que j’apprécie énormément.
  • Des rencontres, de tout univers ce qui est ultra-enrichissant.
  • De la bonne nourriture, du soleil et ça aussi c’est important.
  • Pouvoir explorer d’autres domaines lors d’ateliers comme l’UX, la typographie, etc.

Mohamed-Amine

Ce que je retiens de Sud Web 2017 :

  • Premier évènement du genre pour ma part, j’ai beaucoup apprécié et j’ai été assez bluffé par l’organisation, la sympathie des personnes que j’ai rencontré, et la passion qu’ils ont tous pour ce qu’ils font.
  • Les conférences qui m’ont le plus parlées sont celles de Rafael Conde, Sabine Safi, et le duo Nicolas Ferrari et Cyril Baÿ.
  • La journée du samedi avec les ateliers était aussi très intéressante, j’ai notamment pu rencontrer Bert Bos, co-fondateur du CSS. Le personnage donne vraiment à réfléchir tant il est humble et à l’écoute des autres.

Atelier #css avec Bert Bos du #w3c à @SudWeb@CleverAgepic.twitter.com/jnBjk5RRgd

— Mohamed-Amine Mih (@maminemih) 20 mai 2017

Alexander

Ce que je retiens de Sud Web 2017 :

  • Premier Sud Web et premier événement non tech pour ma part.
  • J’ai apprécié les personnes présentes tant les speakers que les spectateurs, les pauses méditation et éveil du corps m’ont beaucoup plus.
  • J’ai beaucoup aimé la conférence de Marie Terrier : « A journey in India », Rafael Conde : « How being a developer makes me a better designer », la pause humour de Bruno Heridet, celle de Jean-Philippe Cabaroc et Geoffrey Dorne (j’aimais bien leur podcast Walking web) enfin celle de Sabine Safi.
  • Samedi, bien entendu, j’ai adoré rencontrer Bert Bos (j’ai un memento CSS signé par co-foundateur de CSS !).
  • J’ai rapidement découvert un logiciel libre de retouche de photo et j’ai bien aimé les ateliers sur les living styleguides et la typographie.

En résumé : des conférences passionnantes, du soleil et une ambiance conviviale, de quoi donner envie d’y retourner l’année prochaine !

Crédits photos : Sud Web


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